Cuando iba a fichar a Kaká:
Un Kaka à 65 millions d'euros
2009-06-02 - Ajouté par ExtraFoot
Florentino Perez l'avait promis. Il l'a fait! Un Kaka tout frais, tout chaud pour redonner ce côté "galactique" qui manquait au Real. Deux jours après son intronisation à la présidence, un accord est intervenu entre
le club castillan et l'AC Milan concernant le transfert de la star brésilienne.
Cuando iba a fichar a Xavi:
Mais les Reds peuvent-ils trouver aussi bien, même à ce tarif ? Dès lors, malgré cette somme assez monstrueuse mise sur la table, c’est peut-être bien le Real qui a fait la bonne affaire dans ce deal. Au vrai, Liverpool n’avait sans doute pas les moyens de retenir Xabi Alonso, la tête déjà tournée vers
la capitale castillane : « Mes intentions sont claires. Je suis un professionnel, et je dois attendre qu’ils trouvent un accord. Mais j’espère que ce sera réglé bientôt. Pour le meilleur ou pour le pire ». Oui, les vœux de mariage avaient déjà été prononcés. Il ne restait qu’à le sceller.
Un partido Real Madrid - Barçá y otro Atlético - Espanyol
23/12/2007 21:16
Foot - ESP 17e j. - Le Real distance le Barça
Un seul but mais quel but dans le Clasico entre le FC Barcelone et le Real Madrid remporté (0-1) par le champion en titre et leader de la Liga sur la pelouse de son dauphin, dimanche en début de soirée ! Un long une-deux entre Julio Baptista et Ruud van Nistelrooy conclu par le Brésilien de l'entrée de la surface d'un extérieur du pied droit pile dans la lucarne de Victor Valdes (36e) a fait lever les quelques milliers de supporters madrilènes à avoir fait le déplacement au Camp Nou (Photo Reuters). Le FC Barcelone avait fait jusqu'alors le plus clair du jeu mais sans trouver l'ouverture, incapable d'imprimer le rythme qui, tôt ou tard, fait plier habituellement ses visiteurs. Face au Real, les hommes de Franck Rijkaard n'ont pas trouvé la solution, malgré une deuxième période riche en situations chaudes ou Eto'o et Ronaldinho, finalement titulaire, ont eu les meilleurs chances de relancer les Blaugrana. Déjà , avant l'ouverture du score, Ronnie aurait pu tromper Casillas d'une violente frappe à ras de terre suite à un centre en retrait d'école d'Iniesta (32e).
Face à un gardien du Real en grande forme, les attaquants barcelonais se seront constamment cassés les dents. Bojan (82e) puis Yaya Touré (83e) ont allumé les dernières mèches mais pas Thierry Henry, de retour dans le groupe mais resté sur le banc - tout comme Lilian Thuram. Dans une partie âpre à l'image du choc entre Raul et Puyol qui a contraint ce dernier à céder sa place, le Barça est apparu un ton en-dessous sur le plan physique et globalement peu adroit à l'approche de la zone de vérité - là où Messi, le grand absent de la rencontre, excelle. Cette défaite sur ses terres face au premier a peut-être scellé le sort du Championnat. Avec sept points de retard sur le Real Madrid - et une revanche du Clasico à jouer dans la capitale -, le FC Barcelone a perdu davantage qu'une rencontre de prestige. L'affiche du week-end européen peut aussi se lire comme un tournant sinon le tournant de la saison. Le Real qui signe là son cinquième succès à l'extérieur et vient d'empocher seize points sur dix-huit possibles l'a parfaitement négocié.
Le bon coup de l'ESPANYOL
Dans l'autre confrontation dominicale entre
Castille et Catalogne, c'est l'Espanyol Barcelone qui a eu le dernier mot (2-1) à Madrid sur la pelouse de l'Atletico dans un match chaud bouillant marqué par les expulsions des Madrilènes Aguero (30e) et Pernia (55e). Simao a trouvé la première ouverture, le gaucher portugais enroulant un coup franc dans la lucarne alors que son équipe était déjà réduite à dix (37e). Raul Tamudo égalisait juste après la pause d'un coup de hanche plein d'à -propos sur un corner que tout le monde avait laissé filer (52e) et c'est contre neuf Madrilènes épuisés que l'Espanyol plantait une dernière banderille victorieuse par Luis Garcia, idéalement satellisé par Ivan de la Pena (85e). Cinquième au coup d'envoi, l'Espanyol réalise une très bonne opération en s'installant sur la dernière marche du podium, à la place de son adversaire du jour. Les Catalans précèdent également Villarreal que le Recreativo Huelva est allé tenir en échec au Madrigal (1-1), le 9e but du Turc Nihat (38e) étant aussitôt compensé par une réalisation de l'attaquant du ''Recre'' Camunas (39e). Dans le dernier match de la journée, tard dimanche, l'Athletic Bilbao et le Real Murcie se sont séparés dos-à -dos après avoir inscrit un penalty chacun (1-1) et restent juste au-dessus de la ligne rouge.
Último partido Real Madrid - Barça:
Cinq minutes. Le rêve du Real Madrid aura duré cinq minutes. Revenu à quatre points du FC Barcelone le week-end dernier, les Merengue, étrillés à Bernabeu par un leader désormais sur la voie royale (2-6), ont briévement entretenu l'espoir de tout relancer dans la course au titre. Bien entrés dans ce Clasico décisif, les Madrilènes n'étaient plus virtuellement qu'à une longueur de leur adversaire lorsque Gonzalo Hinguain a ouvert la marque d'un coup de tête du point de penalty à la réception d'un centre de Sergio Ramos (13e). Mais la réaction catalane a très vite étouffé les velléités du club de la capitale de renverser le cours de la Liga. Cinq minutes après le but madrilène, Thierry Henry, auteur d'un doublé samedi soir, a ramené les deux équipes à égalité en profitant d'une ouverture millimétrée de Lionel Messi, double buteur lui aussi (18e). Le début de la fin pour le Real.
Comme un symbole, le capitaine catalan Carles Puyol a donné l'avantage aux Blaugrana en reprenant victorieusement de la tête un coup franc de Xavi, le premier but de la saison du défenseur central qui a fêté l'événement devant le peuple de
Castille en embrassant goulument son brassard aux couleurs de la Catalogne, encore un symbole (20e).
Olimpiadas Madrid 2016:
Sports : Madrid, candidate pour les JO de 2016, attend avec impatience le 2 octobre
[Fenêtre sur l'Europe]
Madrid sera en concurrence le 2 octobre prochain à Chicago avec Copenhague, Tokyo et Rio de Janeiro. L'objectif ? Devenir ville hôte des Jeux olympiques d'été en 2016.
La
capitale castillane est en lutte face à de sérieuses prétendantes internationales. De plus, elle risque d'être éliminée d'office, du fait de la sélection de Londres pour les JO de 2012.
Le maire de Madrid veut toujours y croire pour la seule capitale européenne en compétition.
Pour Alberto Ruiz-Gallardón, "l'appui institutionnel est crucial".
La présence du roi à la tête de la nomination et le soutien que le gouvernement socialiste de Jose Luis Rodriguez Zapatero s'avèreront être de véritables atouts.
Pour l'heure, Chicago n'a pas atteint les garanties financières de Washington. Et l'Espagne se targue d'avoir déjà réussit l'organisation des Jeux à Barcelone en 1992.
Le maire madrilène estime que l'infrastructure est prête. Et a rencontré le collège de 110 électeurs qui vont siéger à Copenhague le 2 octobre prochain. Son premier sentiment : il assure avoir reçu "beaucoup de respect pour le projet".
Noticas publicadas en eurosport, france football y otros diarios.
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